Mes poèmes
Ma mère
Je te vois partir dans ton délire
Et je ne peux m’empêcher de rire
Mes yeux en pleurent sans retenue
Preuve que ton humeur m'a plu
Je te suis sans vraiment te comprendre
Telle une bûche qu’on essaie de fendre
Les bêtises coulent à flots
Par ta bouche sans accroc
Une palme faudrait te décerner
Pour toutes les conneries racontées
2002